Figurez-vous que dans le temps, la bière ne pouvait être
faite qu’en hiver car des levures parasites pouvaient fermenter de travers s’il
faisait trop chaud. Je résume, hein ! La bière était donc produite d’octobre
à mars.
En début de saison (octobre), il fallait vider les
futs de la saison précédente « ce qui aurait alors donné naissance à des fêtes
telles que l’Oktoberfest » qui ont lieu en septembre comme leur nom de l’indique
pas. On y sert de la bière de mars.
Vous m’avez bien suivi : les fêtes d’octobre sont
faites en septembre avec de la bière de mars car on vidait les fûts remplis au
mois de mars précédent.
En octobre, par contre, il fallait utiliser toutes les
réserves d’orge et de houblon. Une bière destinée à être consommée à la fin de
l’année était produite.
D’où la bière de Noël…
même sur les pintes tu réussis à coller des flèches rouges ?! :)
RépondreSupprimerAh oui, tiens !
RépondreSupprimer11° quand même, la bougre
RépondreSupprimerTout d,abord, merci de publier un de mes articles sur votre blogue. J'apprécierais si vous pouviez corriger le nom de mon blogue dans votre intro svp ! Et en ce qui concerne la flêche sur la pinte, il s'agit de la queue du diable, qui est le logo de la microbrasserie Le Trou Du Diable, située à Shawinigan, Québec.
RépondreSupprimerJacques,
RépondreSupprimerOui hein !
Le BdB,
Je vais essayer d'y penser mais là je suis au bistro.
Y'a un Monsieur qui traite les autres d'ivrognes sur le blog d'à côté ! ...
RépondreSupprimerLe con !
RépondreSupprimerBah vi, hein !
RépondreSupprimerEt pourquoi donc fallait-il utiliser toutes les réserves d'orge et de houblon et picoler dare dare toute la bière en fin d'année?
RépondreSupprimerPourquoi celle de printemps supportait-elle plusieurs mois de plus avant d'être bue?
Argh, j'ai envie d'une bonne Abbaye d'Orval là et j'en ai paaaas!
Lo,
RépondreSupprimerLa bière de printemps supporte plus parce qu'elle a été conçue en dernier, c'est tout.
Il fallait utiliser toutes les réserves pour ne pas les perdre.