jeudi 25 décembre 2014
jeudi 9 octobre 2014
Modiano comment
Ne nous trompons pas : je considéres les prix Nobel d'économie et de littérature comme des conneries. Ce ne sont pas des sciences.
Toujours est-il qu'en apprennant que Modiano avait eu le prix Nobel de littérature, je le suis dit que c'était probablement la première fois qu'un prix était décerné à un type dont j'avais lu des livres. Que j'avais appréciés en outre.
Ça fait trop longtemps pour que j'en parle d'autant que je passe plus de temps à lire des romans policiers et des billets de blog à la con que ce que l'on pourra appeler des vrais livres.
Mais Robert Merle et Patrick Modiano sont les seuls types qui ont écrit des livres (hors polars) et qui m'ont captivé de mon vivant et surtout du leur. Deux types qui n'ont rien à voir.
Ca me rappelle des blogueurs qui font des billets à propos d'essais politiques par nature éphémères.
Ca s'arrose. Un bien beau prix Nobel.
Ca me fait penser qu'il faut que je fasse un billet pour la mort de Robert Merle.
mardi 7 octobre 2014
Ce blog n'est pas mort !
J'ai pourtant eu peur. Je n'arrivais à renouveler le nom de domaine. Je vais raconter l'anecdote dans un autre blog mais il y a un gros bug chez l'hébergeur.
De toute manière, comme je n'ai rien à y raconter...
samedi 20 septembre 2014
Mise en demeure à la maison
Fin 1996, j'ai eu des problèmes financiers. C'était la fois où j'étais pauvre tout en étant salarié avec un statut d'ingénieur. Une honte. Saisies sur salaire des impôts et tout ça. Grace à la famille, j'ai réussi à m'en sortir. Merci à elle. Mais j'ai eu quelques années difficiles. En 1998, les prélèvements de mon assurances pour la voiture n'étaient pas passés. Tel Thévenoud et sa négligence administrative, j'avais mal géré mon histoire et j'avais été viré de mon assurance, la Maif. Vous avez vu ? Je me donne tous les torts. Un moment de faiblesse.
Picolant à la Comète, j'avais un copain assureur qui bossait pour l'agence Assu 2000 en face. Je vous recommande chaleureusement ces braves gens à qui je serais fidèle jusqu'à la fin de mes jours s'ils ne le font aucune crasse. Contrairement à la Maif qui m'a mis dehors après 40 jours de non paiement. Bravo la solidarité institutionnelle.
J'étais viré par la Maif et avais un copain assureur.
J'ai tout viré chez lui. On était bons potes. J'étais témoin à son mariage. Je fus donc client chez Assu 2000 le premier janvier 1999, fâché a fond avec la Maif cette assurance dite sociale mais sans les couilles pour appeler les clients qui n'ont pas payé. Le côté con des profs.
On a fait un faux vu que j'ai certifié sur l'honneur ne pas avoir eu de défaut de paiement.
Malheureusement, je paye tous les six mois et les échéances tombent en janvier et en juillet. 15 ans que je vais voir mon assureur en janvier pour régler... C'est pour l'échéance de juillet que ca chie. L'échéance de la voiture tombe en juillet et celle de l'appartement en août.
Comme l'assureur était mon pote, j'ai pris l'habitude de payer le tout fin août début septembre.
Je l'ai perdu de vue. Étrange. Il a probablement été viré à cause des arrangements qu'il avait avec des clients. Comme moi.
Toujours est-il que je reçois des mises en demeure tous les mois de septembre depuis plus de dix ans sans avoir à payer les moindres frais ce qui fait que ai fini par le foutre des mises en demeure.
Cette année, j'ai payé le 22 septembre. De pire en pire.
Toujours est-il que depuis près de 15 ans je reçois des missives d'huissiers me garantissant une saisie. J'ai appris à m'en foutre.
mercredi 20 août 2014
Soupirs
Emilie était malade depuis toujours. Il y a un an elle est tombée enceinte. Je m'en réjouissais. Enfin une bonne nouvelle dans sa vie, avec Jim. Le bébé est né. Il était mort. Ils étaient tristes et j'étais de tout cœur avec eux.
Cette grossesse l'a minée physiquement. Elle est retombée malade. Du moins c'est ce que j'ai cru comprendre. Elle est morte hier. J'ai chialé comme une madeleine même si ce n'est évidemment pas sur moi qu'il faut s'épancher.
Ce midi, je faisais le tour des bistros à la recherche de personnes qui le connaissaient. J'ai vu Karim et Michel et nous avons parlé un peu mais ils ne faisaient pas vraiment partie de la bande. Dans la journée, j'ai échangé avec Martine par SMS et Corinne et Marcel par téléphone. Mais j'étais seul.
Ce soir, j'étais avec le vieux Joël et, surtout, Patrice et Djibril. L'envie de parler, sans rien n'avoir à dire.
Aujourd'hui, une andouille me cherche dans les blogs. Je suis à cran. Je n'ai pas voulu lui répondre en public. Il y a des cons qui ne respectent rien (ce est pas un reproche : il ne peut pas connaître mon état).
Et d'autres qui pleurent. Emilie et Jim étaient comme mes enfants ou mes petits frères et petites sœurs.
Patrice est parti bosser. Djibril et Joël sont rentrés chez eux. Et je suis là, dans ce bistro où j'ai connu "mes petits".
dimanche 17 août 2014
Trans et actif
Étant en vacances depuis quinze jours, tout comme la dame qui repasse mon linge, j'ai commencé à piocher, ce matin, dans la pile de linge "peu élégant". Le tee shirt du dessus était un au nom de ma boîte, offert par celle-ci à l'occasion d'un séminaire.
Je vais au bistro. Le boulanger du coin qui avait soif regarde mon tee-shirt et lit "Trans actif". Il me pose des questions. Je nie en bloc. Je lui explique que je suis hétéro passif, ce qui est rare. Et je lui montre mon polo : ce n'est pas "Trans actif".
Cela étant, je rentre à la maison, me vois dans le miroir de l'ascenseur et lis : Trans actif.
Il faudrait que je suggère à mon big boss de changer le nom de la boîte.
lundi 4 août 2014
vendredi 25 juillet 2014
Putain de mort
Un copain a enterré sa sœur cette semaine. J'étais (et suis toujours !) très lié avec sa belle sœur (la femme d'un frère à eux, essayez se suivre, bordel). Fumier de crabe.
Ce soir, j'ai appris qu'un copain (un vague, je l'ai vu deux ou trois fois) très proche de la belle sœur en question (c'est un peu compliqué) avait perdu son frère, sa belle sœur, ses neveux, dans le crash du zinc d'Air Algérie.
Jean-Claude finit le service à la Comète. Les derniers clients se barrent. Une dame qui vient souvent et dont au sujet de laquelle nous avons développé une espèce d'amitié à force de se dire bonjour bonsoir vient payer au comptoir. 60,70 ans,je n'en sais rien.
Elle avait une voix bizarre. Je lui dis une connerie, du genre : "vous avez chopé la crève en juillet, c'est con".
Elle m'explique alors qu'elle avait eu des ganglions aux cordes vocales, qu'elle avait été soignée au laser, que la cigarette était vraiment une connerie mais que les toubibs lui avaient assuré que ce n'était pas cancéreux mais qu'ils avaient fait des prélèvements pour vérifier.
Tu parles ! Elle a un cancer de la gorge ou des cordes vocales mais on ne peut pas lui dire.
Mon amitié à tous.
Vers cette époque de l'année, je deviens morbide. Mon père est mort du crabe un 26 juillet et deux copains sont morts un 27.
Putain de crabe.
La sœur du copain et la belle sœur de la copine avait un cancer du sein soigné, guéri, replongé, résoigné, reguéri,...
Saloperie.
lundi 14 juillet 2014
lundi 7 juillet 2014
Revisiter le passé
Ce qui fait l’objet de mon précédent billet me troue
tellement le cul que j’ai le cul tellement troué. Je résume : une
commerciale de SSII m’a donné une plaquette de sa boite
récapitulant les missions faites par la société dans laquelle j’ai retrouvé des
missions que j’ai moi-même faites il y a plus de 13 ans. Elle a donc piqué les
références d’une boite dans laquelle j’ai bossé, Décan Conseil, qui avait
racheté Sigma Conseil, et pour laquelle, quand j’étais consultant manager, j’avais
moi-même rédigé la plaquette. Je suis resté très bon pote avec mon chef de l’époque
et il se rappelle bien avoir fait le job avec moi.
Avec la plaquette, il y a un récapitulatif des principales
missions. 22 sont décrites. 9 d’entre elles sont des travaux que j’ai faits et
j’ai un doute sur deux (un autre type a pu bosser sur les mêmes sujets que
moi). Ca me fait rigoler, j’ai moi-même raconté des mensonges en gonflant le
niveau d’implication de la société dans certains dossiers. Par exemple, il est
indiqué qu’elle a fait la planification de la migration des distributeurs de
billets à l’euro (le document s’appelle « missions récentes »). C’est
de bonne guerre. Par contre, pomper les informations est complètement con :
j’espère que les clients potentiels vont vérifier. C’est néanmoins réellement
très drôle puisque la plupart des missions sont à l’avenant : qui s’intéresse
aujourd’hui à la migration des GAB à l’euro… Cela avait un sens quand j’ai
rédigé le truc puisque c’était avant l’intégration de cette nouvelle monnaie.
Il n’empêche que c’est amusant de relire ce qu’on a pu
écrire au siècle dernier pour faire croire que la société était réellement
importante.
« Mise eu point des outils
de simulation pour l’agrément des systèmes de télépaiement ». Ca
date d’une époque où on pouvait payer par Minitel ou avec un décodeur Canal+.
Je suis resté deux ans à glander en attendant que des industriels sortent une
application pour le faire.
« Spécifications des
nouveaux claviers sécuritaires des automates bancaires (projet cible 2003) ».
Je confirme que j’étais bien le responsable du groupe de travail appelé « cible
2003 » mais je n’ai jamais travaillé sur les claviers, ceux-ci étant du
ressort de Mastercard et de Visa.
« Préparation du passage des
GAB à l’euro ». Je confirme que j’étais secrétaire du groupe de
travail assurant la coordination entre les banquiers et les mainteneurs des
GAB, ce qui me valait de faire un compte rendu de réunion tous les mois.
« Spécification du protocole
MPE V5 ». C’est un scandale que j’ai pu écrire cela. MPE V5 n’est
pas un protocole. J’ai mis au point la dernière version du chapitre décrivant
les données transportées par le protocole associé parce que le chef de projet
avait quelques failles rédactionnelles.
« Planification du
département Acceptation Retrait ». J’étais effectivement le seul
consultant de ce département et je planifiais très bien mes travaux.
« Mise en place de nouvelles
procédures d’agrément des coupleurs auprès des laboratoires et des
constructeurs. » Ah ! C’est un des points sur lesquels j’ai un
doute, doute mineur car la phrase est « typiquement de moi ». Les
procédures étant imposées par Visa et Mastercard et hors du scope de mon client
de l’époque, j’ai effectivement suivi le dossier pour lui mais je n’ai rien
fait.
« Spécifications et
développements sur LOGIXXX ». Exact ! C’était entre 1987 et
1993 ce qui ne nous rajeunit pas et j’invite la boite en question à faire du
ménage.
« Evaluation des logiciels
DAB/GAB du groupe » (pour une banque). C’était une mission faite
par une collègue pendant 5 ou 6 semaines sous ma responsabilité. On y reviendra
mais c’est typiquement une mission de complaisance qui consiste à fournir des
tonnes de papier à un chef de service pour qu’il puisse l’agiter au cours d’une
réunion).
« Etude de faisabilité d’intégration
de LOGIXXX » (pour une autre banque). J’y reviens donc : l’étude
bidon par excellence demandée par un directeur d’une banque à ses sbires pour
montrer à ses collègues qu’il avait raison d’avoir un logiciel différent des
autres.
« Pilotage de l’implémentation
de LOGIXXX » (pour encore une autre). Là, je reconnais. Vrai boulot :
conseils au client, formation des jeunes consultants, aide au recrutement de
spécialistes. Cela étant, c’était en 2000 et la banque en question change de
logiciel. Ce que je pilote actuellement, d’ailleurs.
Si Décan existe toujours (ce que je ne crois pas) et
souhaite faire une action en justice contre ces malappris, ils peuvent me
contacter.
Cabinets de conseil de merde...
Ayant été consultant pendant plus de vingt ans, j’ai
beaucoup de respect pour les SSII et leurs commerciaux. Aussi, quand je suis
appelé par un commercial, je suis très poli. C’est ainsi qu’une commerciale a
réussi à avoir un rendez-vous avec moi, mercredi soir, même si je lui ai bien
précisé que je n’avais aucun pouvoir de décision pour ce qui concerne les
sociétés consultées lorsque nous avons besoin d’assistance, mon « pouvoir »
étant limité au choix final du consultant.
Elle est venue avec son big boss que je connaissais déjà
pour l’avoir rencontré à l’occasion d’une consultation. Nous nous sommes rendus
compte pendant la discussion qu’il avait été mon patron fin 2000 pendant
quelques semaines, avant que je ne quitte la boite, ce qui était planifié avant
son arrivée, et avant qu’il ne crée la sienne.
En séance, la commerciale m’a donné une plaquette
commerciale où sont décrites les principales missions qu’a effectuées la
société. Je lui avais promis de la lire, ce que j’ai fait ce matin.
C’est alors que j’ai explosé de rire en découvrant qu’une
partie des missions décrites a été réalisée par moi avant 2000. Au début, j’ai
pensé qu’ils avaient un consultant avec un CV proche du mien jusqu’à ce que je
tombe sur des intitulés qui ne portent pas à confusion tels que « développement
de la version 2.0 de LOGIGAB pour Dassault », ce que j’ai fait en 1996.
J’ai alors relu. Il n’y a pas photo. 10% des références de
la société concernent des travaux que j’ai menés personnellement.
Le patron a piqué les plaquettes commerciales de son
ancienne boite et les a mises à son nom alors que j’avais personnellement aidé
l’ancien patron, par ailleurs copain à moi, à les faire.
C’est délirant.
jeudi 3 avril 2014
Mon niveau d'incompétence
« Dans
une hiérarchie, tout employé a tendance à s'élever à son niveau d'incompétence » ! Vous connaissez le principe de Peter ? Vous
pouvez en lire plus sur Wikipedia.
C’est un ouvrage satyrique mais pris au sérieux. Je vais résumer : un
employé compétent finira par avoir une promotion. Il finira par se retrouver à
un poste pour lequel il n’est plus compétent mais il ne sera jamais rétrogradé.
Ainsi une grande partie de la hiérarchie des entreprises est composées de gens
incompétents. Par contre, comme les mecs compétents sont promus, il ne reste
plus de types bons au niveau où ils devraient l’être.
Je m’y suis intéressé au début des
années 90 parce que mon chef de l’époque, sans se rendre compte qu’il était lui-même
incompétent, n’arrêtez pas de nous le lancer dans la gueule, du genre : « Alors, Jégou, vous démontrez encore que vous avez atteint
votre niveau d’incompétence. »
Je m’y suis intéressé une dizaine d’années
plus tard, quand j’ai moi-même atteint mon niveau d’incompétence et était
entouré de gens incompétents. Un nouveau gros projet s’était lancé et la
directrice de ce projet, s’était entourée de six ou sept chefs de « sous-projet »
par domaine bien précis et nécessitant une expertise. Certains étaient
notoirement incompétents dans leurs domaines (ceci n’est pas une méchanceté,
ils avaient bénéficié d’une promotion interne pour ce nouveau projet mais l’entreprise
manquait de spécialistes). Ces incompétents avaient des consultants pour les
assister, dont moi.
Nous étions ainsi une équipe d’une
dizaine. La directrice en avait sélectionné six qui, en plus de leur travail,
devaient assurer le rôle de « technico-commercial » auprès des entreprises
clientes. J’avais donc en charge le suivi de deux banques pour tous les « sous-projets »,
y compris ceux dont je ne connaissais rien. J’allais donc voir les banques pour
échanger avec eux mais je me retrouvais en face de gens soit très compétents
soit ayant atteint leur niveau d’incompétence. Pour le sous-projet dont j’avais
la charge, j’étais largement plus compétent qu’eux à un point que ça me faisait
profondément chier. Pour les autres, j’étais absolument nul et passait pour une
bille.
Néanmoins, l’observation de mes
confrères me montrait que c’était pareil pour eux. Quand ils me faisaient le
reporting pour le domaine qui était le mien, je voyais bien qu’ils ne
comprenaient rien à ce qu’ils avaient pu noter…
La différence entre eux et moi, c’est que je le
reconnaissais. Mais je ne pouvais pas le dire à la chef puisqu’il aurait fallu
que je démolisse mes camarades : « Ecoute,
je suis nul dans ces domaines et ils sont nuls dans le mien, ils me font de
belles conneries et je galère à réparer. » Tout au plus, si je lui
disais que j’étais largué, elle me répondait « tu
vas apprendre ». C’était complètement faux (faire l’intermédiaire
entre des experts ne pousse pas à devenir expert mais à se désintéresser des
sujets). Nous avions tous atteint notre niveau d’incompétence et la chef aussi.
Elle a donc eu une promotion parce que son chef à elle était encore plus
incompétent et qu’il fallait le remplacer.
Nous étions donc une bande d’incompétents pour notre job
mais très compétents pour ses annexes… Et j’étais effaré de voir mes collègues
ne pas reconnaître leur propre incompétence. Ils faisaient le job comme s’ils
étaient compétents alors qu’ils n’avaient aucune raison de nier leur
incompétence vu qu’ils n’avaient pas été recrutés pour ça mais pour une
compétence particulière.
La chef avait raison sur un point : j’ai beaucoup
appris mais pas en technique, uniquement sur le fonctionnement des entreprises,
à l’occasion de différents chantiers. Par exemple, il avait fallu que je fasse
des contrats avec des fournisseurs. En travaillant avec la juriste, j’avais
appris beaucoup de choses, notamment que la plupart des causes des contrats ne
servaient à rien (pas toutes !).
Et c'est périodiquement que je l'atteins périodiquement, ce niveau d'incompétence... Mais que j'apprends beaucoup sur des sujets variés...Ce qui me fait être plus compétents que d'autres, qui ne reconnaissent pas leur propre incompétence.. et s'entêtent dans des domaines où ils sont nuls.
Et c'est périodiquement que je l'atteins périodiquement, ce niveau d'incompétence... Mais que j'apprends beaucoup sur des sujets variés...Ce qui me fait être plus compétents que d'autres, qui ne reconnaissent pas leur propre incompétence.. et s'entêtent dans des domaines où ils sont nuls.
mardi 1 avril 2014
Les vraies raisons de la défaite !
C'est une belle question. Les blogueurs s'interrogent et se renvoient des arguments. Ce matin, j'ai fait une plaisanterie sexiste dans Twitter. Un type m'a répondu que c'était sexiste. J'ai répondu que la gauche morale me cassait les couilles. Il m'a dit que le sexisme n'est pas une opinion mais un délit.
C'est un trou du cul. Une opinion (que je ai pas d'ailleurs) ne saurait être un délit. Ce qui peut être un délit est des propos exprimés. Et encore ça se discute. Un délit doit être prévu par la loi. Je n'ai fait que demander à un pote si une gonzesse qu'il citait était bonne. Je veux bien passer pour grossier ou vulgaire. Mais qu'on ne me dise pas que je commets un délit.
Et cette gauche conne devrait finir par s'interroger si elle est pas responsable de l'exaspération des électeurs, par des positions débiles qui finissent par une censure.
La gauche conne et morale devrait arrêter ce positionnement idiot. Elle fait chier tout le monde.
Ce week-end, je lisais la liste des noms du comité de soutien à mon maire. J'étais dedans ! 90% des noms des gens étaient d'origine étrangère. On était pliés de rire au bistro. Tenu par un Kabyle qui a fait signer tous ses potes.
Et la gauche s'écroule aux élections.
Que la gauche morale ferme sa gueule.
vendredi 7 mars 2014
Toujours aussi con @jesuiscethomme
Ça fait longtemps que je n'avais pas fait un billet pour dénoncer un connard sur ce blog, moi. Ce pauvre gauche de combat est vraiment fini à l'urine.
mardi 25 février 2014
Jambon beurre
J'ai un nouveau directeur, ce qui s'arrose certainement. Il a pris l'habitude de venir une fois ou deux par semaine déjeuner d'un sandwich dans le même bistro que moi, le Tourbillon à la Défence
Manger d'un sandwich est un pur bonheur. En rentrant, dans l'ascenseur, nous étions trois, ce midi. On se faisait la réflexion que nous faisions le même poids, en moyenne. 80 kilos. Un lascar à 55 kg. Le chef à 80. Et moi.
Manger d'un sandwich est un pur bonheur, disais-je. Mais, ce midi, il n'avait pas les cornichons réclamés. Il faudra que j'en parle à Fernand. Fernand est parfait ! Il sait que c'est mon chef. Il me compte une seule bière quand il mange avec moi. Le lendemain, la douloureuse est plus douloureuse, ce n'est pas grave.
Le sandwich au pâté du Tourbillon est moyen. Par contre, le plat du jour est toujours au top mais ces andouilles font du poisson le lundi et le vendredi. C'est con.
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