Je supprime le système de commentaires Google+ sur ce blog, j'ai eu assez de mal à m'en sortir hier, pour deux répondre à deux commentaires, avec simplement mon iPhone.
Terminé....
mardi 30 avril 2013
dimanche 28 avril 2013
La blonde rose
Une blonde se pointe. Jo me dis : "vas-y, elle est gourmande". Je regarde. Elle a une robe rose. "Non merci je n'ai plus faim".
Je vais aux toilettes. Je reviens. Elle occupait ma place, au comptoir. Devant mon demi. Sacrilège.
Elle pelotait Jo qui me dit : "vas y ! Tu peux faire un papier pour ton blog."
"Encore ?"
"Oui".
Dont acte.
J'ai récupéré mon demi.
Je vais aux toilettes. Je reviens. Elle occupait ma place, au comptoir. Devant mon demi. Sacrilège.
Elle pelotait Jo qui me dit : "vas y ! Tu peux faire un papier pour ton blog."
"Encore ?"
"Oui".
Dont acte.
J'ai récupéré mon demi.
Star déchue
Mon pote Philippe vient de partir. Je suis seul au comptoir. Jo me rejoint avec sa bande de copains ivrognes.
Un jeune type arrive. 20 ans ?
"Bonjour, je suis un lecteur de ton blog, je voulais te saluer".
"Ah ! Merci ! Salut ! Lequel ?"
"Heu..."
Un jeune type arrive. 20 ans ?
"Bonjour, je suis un lecteur de ton blog, je voulais te saluer".
"Ah ! Merci ! Salut ! Lequel ?"
"Heu..."
samedi 27 avril 2013
Dans la tête
Le patron engueule la serveuse pour rire.
Elle : "on est jeunes. Faut qu'on s'amuse".
Moi : "mais non, on n'est pas jeune"
Le patron : "mais si, c'est dans la tête tout ça"
Moi, bougon : "si ça pouvait être dans la bite"
Oups. La serveuse était toujours là et éclate de rire. Communicatif.
Elle : "on est jeunes. Faut qu'on s'amuse".
Moi : "mais non, on n'est pas jeune"
Le patron : "mais si, c'est dans la tête tout ça"
Moi, bougon : "si ça pouvait être dans la bite"
Oups. La serveuse était toujours là et éclate de rire. Communicatif.
jeudi 25 avril 2013
Internet coupé...
Surprise ! Hier, après déjeuner, mon accès Internet du
bureau était coupé. J’ai immédiatement pensé à une décision « administrative »
vu le message d’erreur affiché. Je téléphone au SAV qui me confirme qu’ils ont
bien reçu une liste de personnes à qui il fallait couper l’accès Internet.
Stupeur ! Me voilà bien ! Il ne me reste plus que l’iPhone, notamment
pour accéder à mes mails (et publier des billets de blogs mais ça ne rentre pas
vraiment dans mes attributions).
Je fais donc le nécessaire auprès de mon DRH qui passait par
hasard dans mon bureau à cette heure-là (on est installé au même étage)…
Aujourd’hui, un collègue vient me voir : il a le même
problème. Cela me soulage : ma radiation n’était pas due à une utilisation
abusive (qui ne l’est même pas puisque j’utilise déjà beaucoup l’iPhone)…
En fait, c’est une direction où nous étions avant avril 2008
qui a fait le ménage dans ses listes et a viré l’accès des gens qui ont été
embauchés par elle mais qui ne travaillent plus pour elle ce qui n’a rien de surprenant
compte tenu de l’organisation en différentes entités juridiques de la société
et du fait que l’on soit maintenant détachés dans une filiale d’une filiale…: on n'est plus "visible" pour eux.Ceux qui ont été embauchés avant d'entrer dans cette direction ont conservé leur accès. Ceux qui sont entrés après la création de la filiale aussi...
J’ai eu peur.
mardi 23 avril 2013
Pensées de métro
Il y a un jeune Chinois avec un chien dans le métro. Il lui parlait en Chinois. Pendant quelques instants, j'ai eu une pensée incongrue. Je me suis d'abord dit que le type était con : le chien ne peut pas comprendre. Puis, je me suis que je suis trouvé con : le chien devrait comprendre le Chinois.
Il y a un petit blond dans le métro, l'air vaguement efféminé. Il a une rose à la main. Je me suis demandé s'il allait faire sa demande en mariage.
Ça me fait penser au mariage pour tous. On a le sentiment d'en voir bientôt le bout. Mais étrangement, je ne suis pas satisfait. C'est grave, docteur ? On devrait être soulagés mais comme se machin nous a occupés six mois, c'est le sentiment de vide qui domine.
Ceci est renforcé par le fait d'être dans une rame de métro peu remplie avec des gens calme, presque tristes. Une espèce de jeune connasse à côté de moi écoute de la musique trop forte.
Il y a un petit blond dans le métro, l'air vaguement efféminé. Il a une rose à la main. Je me suis demandé s'il allait faire sa demande en mariage.
Ça me fait penser au mariage pour tous. On a le sentiment d'en voir bientôt le bout. Mais étrangement, je ne suis pas satisfait. C'est grave, docteur ? On devrait être soulagés mais comme se machin nous a occupés six mois, c'est le sentiment de vide qui domine.
Ceci est renforcé par le fait d'être dans une rame de métro peu remplie avec des gens calme, presque tristes. Une espèce de jeune connasse à côté de moi écoute de la musique trop forte.
vendredi 19 avril 2013
Bilan de formation
J'ai gagné un stylo. A part ça, hier soir, je voulais faire un billet pour décrire beaucoup mieux les types de participants, entre les désabusés, les scolaires, les fayots,... J'en ai un petit peu parlé dans je ne sais quel billet.
Finalement, au bout de 3 jours, on finit par connaître tout le monde et par apprécier chacun. C'est ma première formation depuis 25 ans, après 4 ans dans cette boîte. J'ai forcément un vision différente d'un type qui a quinze ans de boîtes et vu plusieurs réorganisations, d'un jeune qui fait sa première formation après la sortie de l'école, d'un type qui bosse dans une Direction Départementale (alors que je suis dans une filiale du siège), d'un gugusse qui est en relation avec la clientèle,...
Quant aux fayots que j'avais repérés, je me suis planté. J'ai presque honte. Pour moi, mon job, c'est avant tout de faire des projets informatiques. J'oublie souvent que c'est aussi de gérer - de manager - des collaborateurs. Ceux que je voyais comme des fayots sont en fait ceux qui intègrent à leur boulot cette dimension de gestion humaine et qui prenaient donc plus à cœur que moi cette formation. C'est aussi un volet que j'oubliais quand je dirigeais des centres de vacances avec les éclaireurs. Je pensais aux mômes, à l'animation, à l'intendance,... mais assez peu à la formation des animateurs.
Avec les éclaireurs, on faisait souvent des "matchs d'impro". Il s'agit d'improviser des saynètes sur des sujets tirés au sort. J'étais très mauvais.
Pendant la formation, il y avait des cas pratiques où il fallait improviser des scènes de la vie professionnelle. A chaque fois que l'animatrice cherchait des volontaires, j'étais scotché par le trac. On ne se refait pas. J'ai réussi à passer à travers de tout.
J'ai appris plein de trucs... qui me feront probablement voir différemment mes propres chefs !
Finalement, au bout de 3 jours, on finit par connaître tout le monde et par apprécier chacun. C'est ma première formation depuis 25 ans, après 4 ans dans cette boîte. J'ai forcément un vision différente d'un type qui a quinze ans de boîtes et vu plusieurs réorganisations, d'un jeune qui fait sa première formation après la sortie de l'école, d'un type qui bosse dans une Direction Départementale (alors que je suis dans une filiale du siège), d'un gugusse qui est en relation avec la clientèle,...
Quant aux fayots que j'avais repérés, je me suis planté. J'ai presque honte. Pour moi, mon job, c'est avant tout de faire des projets informatiques. J'oublie souvent que c'est aussi de gérer - de manager - des collaborateurs. Ceux que je voyais comme des fayots sont en fait ceux qui intègrent à leur boulot cette dimension de gestion humaine et qui prenaient donc plus à cœur que moi cette formation. C'est aussi un volet que j'oubliais quand je dirigeais des centres de vacances avec les éclaireurs. Je pensais aux mômes, à l'animation, à l'intendance,... mais assez peu à la formation des animateurs.
Avec les éclaireurs, on faisait souvent des "matchs d'impro". Il s'agit d'improviser des saynètes sur des sujets tirés au sort. J'étais très mauvais.
Pendant la formation, il y avait des cas pratiques où il fallait improviser des scènes de la vie professionnelle. A chaque fois que l'animatrice cherchait des volontaires, j'étais scotché par le trac. On ne se refait pas. J'ai réussi à passer à travers de tout.
J'ai appris plein de trucs... qui me feront probablement voir différemment mes propres chefs !
Commentaires Google+
Afin de faire quelque tests, j'ai activé les commentaires en mode Google+ sur ce blog. N'hésitez pas à commenter, pour voir.
mercredi 17 avril 2013
En formation de manager
Je termine ma première journée de formation professionnelle sur les trois prévues. Du coup, je suis coupé de l'actualité depuis ce matin et j'ai une heure de bus pour faire un billet.
Le thème tourne autour de la première expérience de management. Sur les onze participants, cinq ont déjà une première expérience de quelques mois. Les six autres en envisagent à plus ou moins long terme de diriger une petite équipe.
Qu'est-ce que je fous là, moi ? Voilà la question que tu pourrais te poser vu que je me la pose moi-même... La probabilité que je devienne manager à brève échéance est assez faible : vue notre organisation, nous n'avons pas de responsabilité hiérarchique sur nos collaborateurs (en français, nous ne faisons pas les entretiens d'évaluation).
Travaillant dans une grosse boîte depuis cinq ans (presque jour pour jour), j'ai le droit à des formations mais compte tenu de l'activité, l'occasion ne s'était pas présentée. J'ai fait deux propositions : une technique (qui m'intéresse autant pour les blogs que pour le boulot) et, celle-ci, plus liée à la carrière professionnelle. On m'a donc proposé cette dernière, j'ai accepté par principe et je le regrette pas alors que ce matin, j'y allais vraiment à reculons.
Ou presque. Ma curiosité intellectuelle était titillée : comment former quelqu'un à manager ? Tous les chefs que j'ai eus en 26 ans se sont retrouvés managers "par hasard" au fil du déroulement de la carrière. En outre, ayant été consultant 21 ans, je n'ai eu un manager que pendant 18 mois. Le reste du temps, j'étais géré directement par celui qui avait le rôle de directeur commercial... Le métier de consultant a ceci de particulier puisqu'on ne fait pas le boulot pour son patron mais directement pour un client. Faut être philosophe.
La formation est bien structurée mais on apprend beaucoup plus par les échanges avec les autres et les réponses de la formatrice lors d'espèces d'exercices que lors des "présentations magistrales" de cette formatrice.
J'y ai quand même "appris" deux ou trois choses essentielles mais je ne peux pas en dire plus : nous avons un engagement de confidentialité. Rien de ce qui est dit dans la salle ne peut être répété pour la principale raison que nous parlons beaucoup d'expériences réelles.
Cela étant les salariés devraient allaient en formation de manager pour comprendre pourquoi ils sont traités ainsi.
Ça finit de bonne heure et le bus est en avance, ça me fera une heure de plus à la Comète.
Le thème tourne autour de la première expérience de management. Sur les onze participants, cinq ont déjà une première expérience de quelques mois. Les six autres en envisagent à plus ou moins long terme de diriger une petite équipe.
Qu'est-ce que je fous là, moi ? Voilà la question que tu pourrais te poser vu que je me la pose moi-même... La probabilité que je devienne manager à brève échéance est assez faible : vue notre organisation, nous n'avons pas de responsabilité hiérarchique sur nos collaborateurs (en français, nous ne faisons pas les entretiens d'évaluation).
Travaillant dans une grosse boîte depuis cinq ans (presque jour pour jour), j'ai le droit à des formations mais compte tenu de l'activité, l'occasion ne s'était pas présentée. J'ai fait deux propositions : une technique (qui m'intéresse autant pour les blogs que pour le boulot) et, celle-ci, plus liée à la carrière professionnelle. On m'a donc proposé cette dernière, j'ai accepté par principe et je le regrette pas alors que ce matin, j'y allais vraiment à reculons.
Ou presque. Ma curiosité intellectuelle était titillée : comment former quelqu'un à manager ? Tous les chefs que j'ai eus en 26 ans se sont retrouvés managers "par hasard" au fil du déroulement de la carrière. En outre, ayant été consultant 21 ans, je n'ai eu un manager que pendant 18 mois. Le reste du temps, j'étais géré directement par celui qui avait le rôle de directeur commercial... Le métier de consultant a ceci de particulier puisqu'on ne fait pas le boulot pour son patron mais directement pour un client. Faut être philosophe.
La formation est bien structurée mais on apprend beaucoup plus par les échanges avec les autres et les réponses de la formatrice lors d'espèces d'exercices que lors des "présentations magistrales" de cette formatrice.
J'y ai quand même "appris" deux ou trois choses essentielles mais je ne peux pas en dire plus : nous avons un engagement de confidentialité. Rien de ce qui est dit dans la salle ne peut être répété pour la principale raison que nous parlons beaucoup d'expériences réelles.
Cela étant les salariés devraient allaient en formation de manager pour comprendre pourquoi ils sont traités ainsi.
Ça finit de bonne heure et le bus est en avance, ça me fera une heure de plus à la Comète.
En formation !
Ma première formation depuis... 25 ans !
"Réussir dans sa première fonction de manager"
Tout un programme... Moi qui ai déjà dirigé des équipes de 40 personnes.
"Réussir dans sa première fonction de manager"
Tout un programme... Moi qui ai déjà dirigé des équipes de 40 personnes.
mercredi 3 avril 2013
L'autre bout de la lorgnette
Il y a plusieurs manières de voir l’affaire Cahuzac. Il y a
bien sûr le scandale et « la gauche morale », celle à laquelle je croyais,
clouée au pilori par un homme empêtré dans ses mensonges, un ministre chargé de
la lutte contre la fraude fiscale qui a probablement été un fraudeur fiscal.
Et il y a l’autre, celle vue des réseaux sociaux, des
médias, … Bien plus rigolote et évocatrice de notre société.
Je parcourais Twitter, à midi. Les twittos sont plus
intéressé par taper sur Jean-Michel Apathie qui est obligé de se justifier
pour ne pas avoir cru sur parole Médiapart, comme moi.
« J'estime que ma crédibilité n'est
absolument pas remise en cause. » « Depuis le
début, je demande à Edwy Plenel s'il a des preuves dans cette affaire. Il me répond
que oui. Pourquoi ne les publie-t-il pas, alors ? C'est ce que j'ai toujours
demandé. Je n'ai rien contre Mediapart. J'ai juste toujours dit que je ne
savais pas si Cahuzac avait un compte en Suisse. ».
Pareil ! Me voila à défendre Apathie. Ce qui fait
plaisir, c’est que le Canard Enchaîné est sur la même longueur d’onde. Il, « dans un éditorial signé par son rédacteur en chef Louis-Marie
Horeau, juge qu'il n'y a « rien d'étonnant à ce que la grande majorité des
médias, Le Canard compris, ait regardé le début de la pièce avec prudence et
circonspection », même si « le héros involontaire donnait du grain à moudre,
en multipliant les maladresses troublantes ». « Lorsque le rideau s'est
levé, voilà quatre mois, il n'y avait guère, sur scène, qu'une conversation téléphonique
captée par hasard. Une voix, dont il fallait croire, sans preuve tangible, que
c'était celle du ministre, évoquait l'existence d'un embarrassant compte en
Suisse » »
C’est aussi l’histoire d’un couple fortuné qui entame une
procédure de divorce. Les sommes enjeux sont importantes. Comment sera
partagé le gâteau ?
« Selon les informations du
Canard Enchaîné, la femme de l'ancien ministre, Patricia Cahuzac, aurait engagé
en octobre 2011 des détectives privés pour enquêter sur son mari. »
Un détective déclare : « très vite, nous
avons découvert que des officines travaillaient à la recherche d'informations
compromettantes. »
« "L'officine" évoquée
par Le Canard Enchaîné serait rapidement arrivée à contacter [un] inspecteur
des Impôts à la retraite, l'auteur d'une lettre de dénonciation évoquant la
possession d'un compte occulte en Suisse par le ministre du Budget. »
M. Cahuzac est un membre important du Gouvernement mais, à l’époque
de l’enquête, il n’était qu’un brillant politicien de l’entourage de François
Hollande, candidat à la Présidence de la République. L’avocate de Mme Cahuzac
est la sœur de M. Copé, patron du parti qui « portera » le principal
candidat, Nicolas Sarkozy, président sortant, opposé à François Hollande.
« L'affaire, qui a désormais
valu à Jérôme Cahuzac son portefeuille ministériel est digne d'un polar
financier. Selon Mediapart, le compte en Suisse présumé aurait été transféré à Singapour,
un compte auquel n'aurait pas accès l'épouse du socialiste. Heureux hasard
selon Le Canard Enchaîné, Patricia Cahuzac aurait reçu la visite à son cabinet
en mai 2012 d'un patient qui n'avait aucun problème de cheveux. La raison de sa
visite : des informations sur le compte suisse de son époux, qu'il mettait à sa
disposition contre 3 000 euros. Toujours selon Le Canard Enchaîné, Patricia
Cahuzac l'aurait alors mis à la porte. »
Voilà comment je voyais l’affaire, jusqu’à hier soir et « l’aveu ».
Tel que je le comprends, pour éviter de payer trop cher pour
son divorce, Jérôme Cahuzac fait transféré un compte « oublié » de
Suisse à Singapour et des détectives privés payés par sa femme trouve des
traces. Alors que l’avocate est la sœur du patron de l’UMP, l’affaire aboutit
dans les mains de la presse.
Elle en devient une affaire politique, avec d’incessants
petits juges sûrs d’eux.
Avant-hier soir, on ne savait rien.
C’est depuis hier soir que c’est très grave parce que le
peuple de gauche a le sentiment d’avoir été trahi et doute. Le peuple de gauche ?
Bah ! J’aurais pu dire « le peuple » mais il me semble que, à
droite, on attend moins de la gauche.
On reproche à un journaliste de se justifier. On reproche à
un ancien ministre d’avoir menti. Un mensonge d’un ministre ou le doute d’un
journaliste deviennent plus grave qu’un détournement fond ou une trahison du
peuple.
Voila Twitter.
Ca me laisse pantois.
On me reproche - ailleurs - de défendre de Cahuzac. Moi, je défends tout le monde. Mais j'ai envie de répondre à ce qui me critiquent : et maintenant, on fait quoi ? Ayrault doit démissionner ? Ca nous fera une belle jambe. Hollande doit dissoudre l'Assemblée ? Vous voulez le retour de la droite...
On a une seule solution : se serrer les coudes. De toutes manières, le mal est fait. Il est terrible.
Ca me laisse pantois.
On me reproche - ailleurs - de défendre de Cahuzac. Moi, je défends tout le monde. Mais j'ai envie de répondre à ce qui me critiquent : et maintenant, on fait quoi ? Ayrault doit démissionner ? Ca nous fera une belle jambe. Hollande doit dissoudre l'Assemblée ? Vous voulez le retour de la droite...
On a une seule solution : se serrer les coudes. De toutes manières, le mal est fait. Il est terrible.
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