mardi 3 février 2015

Créteil de merde

J'ai eu la chance de trouver une place assise ligne 1. Il y avait une gonzesse et un type en face de moi, visiblement des collègues de travail. La dame expliquait au lascar qu'elle avait la chance d'habiter le vieux Créteil. C'est évidemment risible pour tour tous ceux qui connaissent Créteil. Je connais un peu, c'est "ma" préfecture. Je ne veux pas stigmatiser ces braves gens. 

Toujours est-il que la dame défendait son choix : tu te rends compte, quand ça roule bien, je suis à 35 minutes de Roissy ?

Le type a eu cette réponse géniale : qu'est-ce que tu en as à foutre, tu ne prends jamais l'avion ?

On sentait le "connasse" qu'il a failli sortir. 

4 commentaires:

  1. Presque rien à voir mais quand même.
    Il y a quelques mois je fumai une clope dehors au boulot avec un autre mec.
    Le mec voulait changer de bagnole, il me racontait le truc en long en large et en travers. Tu me connais, toujours très poli, attentionné envers mon prochain et même parfois, les bons jours, avec le suivant (c'est bon tu l'as la vanne pourrie ?) j'écoutai patiemment ce type me vanter les mérites comparés de plusieurs grosses berlines.
    A un moment je lui demande :
    - Mais pourquoi tu prends toujours des grandes bagnoles ?
    - Ben, parce qu'il y a de la place derrière !
    - Ouais, d'accord mais tu vis tout seul !
    - Ben ouais mais quand même.
    - Tu y vas souvent derrière ? Parce que là je t'explique, pour conduire c'est beaucoup moins pratique.
    - Ouais, t'es con !
    Je l'ai revu quelques semaines plus tard arriver avec un suppositoire d'autobus, une C1, une Twingo...enfin un machin de ce genre.

    Et là je gagne la palme du mec qui laisse des commentaires plus longs que le billet qu'il commente.
    Je devrai ouvrir un blog tiens.

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  2. C'est un peu comme moi qui habite à deux minutes du vendeur de bi-cycles alors que je roule qu'en quadi-cycle

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  3. je sens bien le message subliminal du collègue " tu t'envoies jamais en l'air "

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