mercredi 19 décembre 2012
Cantine
Parallèlement, je note les étapes de mon retour en métro. Parti du bureau à 8h01. Arrivé au quai à 11. Train sans place assise. J'attends le suivant. Il arrive. Départ à 13. Ça me permet de mémoriser le temps de trajet moyen.
Dans les ascenseurs que l'ont connait habituellement, on entre dans la cabine puis on choisit l'étage. Là, il faut le choisir avant et le machin électronique nous dit quel ascenseur prendre parmi les 6 de la batterie. Ça permet d'optimiser les trajets. L'informatique est magique.
La cantine est troisième sous-sol. Elle est gigantesque. Je ne sais pas combien de personnes y déjeunent tous les jours. Je crois qu'il y a six caisses et six "stands" pour les plats du jour. J'ai compté 7 salles où l'on peut déjeuner, les plus grandes pouvant recevoir au moins deux cent personnes (une trentaine pour les plus petites). Disons qu'au moins cinq ou 600 personnes peuvent y manger en même temps.
En arrivant, on choisit le plat du jour sur des écrans lumineux. A chaque plat est associé un stand. Hier, j'avais choisi le Bourguignon mais je n'ai pas trouvé où il était servi. Du coup, je me suis rabattu où il y avait moins de file d'attente. J'ai compris en goûtant mon plat pourquoi il y avait peu de monde. La maisons n'est visiblement pas spécialistes des gnocchis au jambon. J'ai compris aussi pourquoi mon repas (entrée, plat, dessert) ne m'était revenu qu'à 4 euros.
Cela étant, vous savez ce qu'est une cantine. Après avoir tout pris, vous passez à la caisse. Dans la foule, sauf hasard extraordinaire, vous avez perdu vos collègues.
18h31: changement de métro. Pile poil dans les délais. 1 minute 30 par station. Chance. Un train bleu arrive. Pas de place assise. Départ à 18h33. Ça nous fait une arrivée à 18h51. Ça me laisse 18 minutes pour évacuer la cantine.
Vous quittez la caisse et vous devez retrouver vos collègues. Vous ne savez pas dans quelle salle ils sont... Et vous ne savez pas si vous êtes le premier ou pas. Lundi, j'ai fait le tour de toutes les salles en pendant être le dernier. J'étais premier. Ce midi, j'ai attendu tellement mon plat du jour que les collègues croyaient que j'étais perdu. Ils en ont envoyé un me chercher.
Lundi, à force de marcher avec mon plateau et le stress de la foule dans ce lieu, j'avais mal aux bras... (Des collègues aussi).
Hier, nous avons réussi à passer plus de temps à attendre les ascenseurs qu'à table...
S'il fallait donner une note, je donnerais la note maximum pour le plat principal et les desserts (les entrées sont limitées pour un zouave comme moi qui ne raffole pas des crudités). Je mettrais également une très bonne note pour l'organisation. Malgré la panique du premier jour, on finit par pouvoir boucler le repas en moins de 30 minutes (descente au -3, choix des plats, déjeuner et sortie de la tour (compris). Certains diront que ce n'est pas assez mais oublient que j'ai des blogs à lire !
Le gros défaut : le Telephone ne passe pas.
19h46. Place d'Italie. On est dans les temps mais je n'ai plus rien à dire sur la cantine.
Un collègue me faisait remarquer que les couverts sont aimantés. Je lui ai répondu au pif que c'était pour les sortir automatiquement de la plonge.
L'autre défaut est qu'il y a trop de monde pour que le personnel puisse reconnaître les clients contrairement à toutes les cantines où j'ai eu mes habitudes. Du coup, il n'y a pas de bonne humeur...
18h50. Le métro ralentit. On aura gagné une minute par rapport à mes précédents chronométrages.
Trajet
mardi 18 décembre 2012
La routine s'installe
Ce matin, j'étais plus tôt qu'hier il n'y avait presque personne, contrairement à hier mais le trajet m'a semblé plus long. C'est pour ça que je note les heures précises dans ce billet. Chronométrer les trajets pour optimiser les horaires. Départ du train à 18h14.
Ce midi, en discutant avec les collègues, on se rendait compte qu'on avait les sensations, notamment en marchant entre la tour et le métro. L'impression d'être doublés par tout le monde, un tas de gens qui courent. Il est probable que dans quelques jours nous auront repris le rythme fou, aussi, et marcherons comme les autres.
Arrivée à "Charles de Gaulle-Étoile". Un tas de gens montés depuis le départ descendent. Je suppose qu'ils vont récupérer le RER A, pour la plupart.
Georges V. J'ai bossé dans le coin de 1996 à 2003.
Franklin-Roosevelt : le siège de ma boîte était là de 1987 à 1998. J'y ai bossé 6 mois en 1993.
J'ai fait tellement souvent ce trajet que je connais par cœur l'enchaînement des stations.
12 stations sur la une. 18 minutes, en théorie. Je devrais arriver à Palais Royal Musée du Louvre à 18h32. C'est le cas.
18h33. Sur le quai de la ligne 7. Un "train bleu" presque vide arrive. Le coup de bol. Une place assise sur les strapontins. Je devrais pourvoir la garder jusqu'à la place d'Italie.
Encore un enchaînement de 12 stations. 18 minutes en théorie. Arrivée à Bicetre à 19h52. 50 minutes de trajet, comme hier soir. Deux coups de bols consécutifs.
Dans la 7, les stations ne sont pas annoncés dans les hauts-parleurs du métro. Du coup, j'ignore totalement où je suis. Ce sont donc bien les annonces, dans la ligne 1, qui donnent ce sentiment d'affreuse routine, ce sentiment d'être en train de faire un compte à rebours.
Ah ! Jussieu ! J'ai reconnu une personne qui vient de rentrer dans la rame. Elle descendra à Bicetre. Un plein plus, je vais être rassuré de voir des têtes connues. C'est idiot.
Il est 52. Le train ralentit pour s'arrêter à Bicetre.
lundi 17 décembre 2012
De retour à la Défense
mardi 4 décembre 2012
Boulot
mercredi 21 novembre 2012
Rendez-vous manqué
mercredi 14 novembre 2012
Journée de travail exemplaire
jeudi 8 novembre 2012
Salon Cartes
mardi 6 novembre 2012
Surprenantes annonces gouvernementales
lundi 22 octobre 2012
jeudi 11 octobre 2012
La gauche qui bosse
Bossant dans l'informatique, je ne suis pas trop concerné. Il n'empêche que je dois me maintenir au courant pour avoir l'air moins con lors de réunions : ces délicieuses machines sont des équipements informatiques. En gros, c'est nous qui payons !
Toujours est-il que ces textes sont très importants, on voit suffisamment d'attaques de transporteurs de flouze et d'arrachage de distributeurs, dans la presse ! Il n'y a pas que le pognon des méchants banquiers, derrière : il y a le travail de vrais gens.
M'étant fortement impliqué à mon niveau dans les campagnes pour la Présidentielle et les législatives, ça m'amuse beaucoup de voir des mesures concrètes arriver des ministères pour me servir dans le boulot quand la gauche arrive au pouvoir, alors qu'on les attend depuis 10 ans.
Surtout quand ça concerne la sécurité et que ça vient du ministère de l'intérieur !
La gauche qui agit.
mercredi 10 octobre 2012
Encore un billet de test !
C'est Cyril qui me recommande de tester la publication de billets par mail et je m'en vais le faire immédiatement ce qui nécessite d'avoir deux paragraphes suffisamment longs pour que je puisse vérifier, ensuite, la mise en page. Tout cela n'est bien sûr qu'une formalité mais il faut néanmoins le faire. Voilà, le premier paragraphe est terminé.
Je vais maintenant entamer le suivant. Qui sera donc le deuxième. Je vais en profiter pour mettre un mot en gras et un autre en italique ! Le test serait d'ailleurs relativement incomplet sans une partie écrite dans une couleur différente. Enfin, je vais joindre une photo ce qui fera d'une pierre trois ou quatre coups. L'illustration était prévue pour un billet que je n'ai pas fait. Comme il ne faut pas gâcher...
vendredi 5 octobre 2012
La machine à café
mercredi 3 octobre 2012
vendredi 28 septembre 2012
La dame au Figaro
jeudi 27 septembre 2012
L'Ambassade Américaine est mal gardée
vendredi 31 août 2012
Voisinage
Ce qui devait arriver arriva. Il y a dix jours, à force de trainer dans le quartier, j'ai croisé un de mes anciens clients, Laurent B.
Surtout, ce midi, alors que je suis à l'apéro, un type me fait signe, en salle. Pierre Étienne, un gars que je connais depuis 87, et que j'ai beaucoup croisé jusqu'au début du siècle et que j'ai revu fin juillet pour la première fois depuis longtemps...
Le monde est petit...
vendredi 3 août 2012
46èmes vacances d'été, c'est maintenant !
Je n'ai aucune photo à vous montrer de la vue qu'on a de la maison. Les arbres des voisins ont trop poussé depuis l'invention des appareils photos numériques...
jeudi 5 juillet 2012
Mes téléphones
mercredi 4 juillet 2012
Mes ordinateurs
Mon père a également eu des ordinateurs mais j’ai un peu
oublié. Je crois qu’il a eu aussi un Amstrad (à disquettes, le 6128 ?) et
une machine MS-DOS (peut-être un Amstrad, aussi) mais, à l’époque, j’y touchais
assez peu, étant déjà informaticien de profession, en faire pour le loisir m’énervait.
Je me contentais de fournir des logiciels piratés à mon père. C’est mal.
A l’époque, la mode, dans les entreprises, étaient d’offrir
des ordinateurs à ses salariés en guise de prime (non imposable). Je ne sais
plus quel texte de loi le permettait. L’entreprise pour qui j’étais consultant
avait donc choisi d’acheter des PC pour ses employés. Comme il y avait beaucoup
de consultants, elle leur avait proposé de participer à l’opération en nous
vendant les PC a prix coûtant. 7000 francs pour un très bon PC de bureau, c’était
donné (même si ça semble un peu cher aujourd’hui). C’était mon premier PC dans
un environnement Windows (XP) alors que j’étais juste là resté fidèle à MS-DOS
et il préfigurait l’usage que j’ai de mes ordinateurs personnels maintenant :
aucun bricolage et de l’utilisation purement grand public.mardi 3 juillet 2012
Mes voitures
Petit, comme bout de mômes, je jouais beaucoup aux « petites
voitures » et j’aimais bien les voitures de mes parents. De mon père,
devrais-je dire, c’était toujours lui qui s’en occupait… Au plus loin que
remontent mes souvenirs, mes parents avaient une Citroën ID (une espèce de DS bas
de gamme pour ceux qui ne connaissent pas) et une 2ch. Vers 1975, de mémoire,
on a eu un petit d’accent à Saint Brieuc et l’ID a rendu l’âme… Le châssis
était plié. Dans l’urgence, mon père a acheté une CX, ce qui n’était pas dans
ses plans initiaux. Nous étions trois enfants, pour pouvoir circuler avec les
grands-mères, les chiens, les bagages, il fallait une voiture plus grande mais
il n’y avait rien de satisfaisant sur le marché, à l’époque. En 1976, je crois,
Citroën a lancé la CX Break Familiale et Peugeot une 505 équivalente. Je crois
qu’on a acheté la CX Break Familiale en 1976 ou 1977 (de mémoire, c’était peut-être
un peu après).
Je me suis donc pointé un samedi dans un machin d’occasions
récentes de chez Citroën. J’ai expliqué ma situation au gars qui ne pouvait pas
grand-chose pour la reprise de ma ZX (il m’a même fait comprendre que c’était
plutôt un boulet pour lui). Il n’empêche qu’il m’a proposé une voiture de même
type, une Xsara VTS 2.0, 138 chevaux de 10 000 kilomètres, pour un montant
exactement identique de ce qu’il m’avait fallu payer pour la ZX près de 10 ans
avant mais avec un équipement bien supérieur (sans compter la puissance
supplémentaire) : GPS, radar de recul, allumage automatique des feux,
essuie glace automatique (et j’en passe, mais ce sont des machins que je ne
retrouve pas systématiquement dans les voitures de locations que je prends
aujourd’hui, ce qui montre que le progrès n’est pas si rapide).







